STAR RANK HUNTER

Chapitre 275 - Mort du Loup Solitaire [Partie 1]

Chaque fois qu’il pleuvait, il y avait toujours de nouveaux personnages qui montaient sur la scène qu’était la forêt. Ils étaient peut-être des riens du tout au début, mais ils gravissaient souvent la chaîne alimentaire de façon constante et étonnaient finalement le monde.

La pluie qui grossissait de plus en plus captait les particules en suspension dans l’air et tombait au sol, emportant le brouillard. Les paysages flous devinrent de plus en plus clairs.

Les lézards géants semblaient beaucoup aimer la pluie d’aujourd’hui. Ils traînaient tous à l’extérieur et permettaient à la pluie de couler sur leur corps.

De l’autre côté de la forêt, Oskulos marchait sans hâte, sans monter sur un hoverboard ou piloter une navette spatiale.

La force d’Oskulos résidait davantage dans sa perception aiguë. Il pouvait toujours, toujours trouver la proie qu’il cherchait. C’était la perception que seul un Hunter de première classe possédait.

Oskulos aimait résoudre les problèmes en utilisant une méthode primitive.

Jiada avait dit un jour qu’Oskulos était une personne cruelle et très vaniteuse. La seule fois où il avait bricolé avec des machines, c’était quand il avait eu l’esprit ailleurs, et en fait, il faisait confiance à ses propres capacités bien plus qu’à n’importe quoi d’autre. Aucune personne ou machine ne pouvait le faire changer d’avis même s’il avait tort.

C’est pourquoi les chefs de groupes violents liés à Oskulos – le Skull King Carranio par exemple – avaient plus ou moins repris cette habitude de lui.

Oskulos n’utilisait aucune machine. Il s’était simplement couvert la tête avec le couvre-chef de sa veste et marchait seul sous la pluie. Il pensait que les machines étaient des objets irritants qui n’arrêtaient pas de bavarder.

Cillin aurait été impressionné s’il avait su la capacité d’Oskulos à comprendre le langage machine. Cependant, Oskulos n’était pas une personne qui acceptait les conseils des autres.

Oskulos rangea sa lame. Il n’aimait pas que sa lame soit touchée par autre chose que du sang, et ces gouttes de pluie ‘sales’ en particulier, c’était complètement hors de question.

Les pas d’Oskulos n’étaient pas rapides, mais ils avaient en eux un objectif clair. Il descendait selon une certaine direction qu’il avait choisie sans jamais se demander s’il avait fait le mauvais choix, ou si sa proie était là. La direction vers laquelle Oskulos avait choisi de marcher était exactement là où Cillin était actuellement – au nid de lézards.

En ce moment, Cillin se concentrait sur sa récupération tout en se cachant à l’intérieur de la grotte des lézards. Les médicaments à action rapide qu’il avait préparés depuis un certain temps avaient déjà été injectés, sans compter que sa vitesse de récupération était déjà incroyablement rapide même sans les agents.

Les nombreuses blessures, grandes et petites, qui avaient criblé le corps de Cillin, commençaient à se rétablir. En fait, les blessures plus petites et moins profondes commençaient déjà à former des croûtes. Les blessures plus grosses et plus profondes se rétablissaient rapidement alors que les muscles coupés se connectaient, se pliaient et fusionnaient en une partie comme auparavant.

Les nerfs rompus à plusieurs endroits à l’intérieur de son corps s’étiraient également, se liant et se connectant les uns aux autres par eux-mêmes. Le sang recommença à couler normalement dans son système sanguin.

Ses os broyés furent guéris en silence. Chaque étape était parfaite, et chaque récupération était au point comme si elles étaient calculées et exécutées comme un programme.

La respiration, avait une fois dit Genya. Les humains avaient des respirations différentes pour différentes situations, et on pouvait déterminer la condition physique d’un humain simplement en vérifiant sa respiration.

Le corps humain avait un meilleur schéma respiratoire lorsqu’il effectuait une guérison spontanée. La récupération la plus rapide n’était possible avec l’utilisation de médicaments que lorsque l’humain respirait sous ce schéma. De nombreuses personnes qui avaient vécu des situations de vie ou de mort n’essayaient pas délibérément de réguler leurs schémas respiratoires pendant leur convalescence. Au lieu de cela, ils obéissaient à leur instinct et respireraient naturellement, surtout après que l’expérience ait entraîné leur corps à s’habituer à ce rythme. Cillin était l’un d’eux.

Il n’avait pas besoin de la changer exprès. Sa respiration passa naturellement à une autre fréquence.

Cillin vérifia chaque blessure sur son corps et comment elles se rétablissaient en ressentant les yeux fermés. Il perçut son environnement à travers les informations conduites par chaque pore et chaque poil de son corps.

Pulsations cardiaques. Il y avait beaucoup de battements de cœur dans cette zone, et Cillin n’était pas le seul.

Il y avait de nombreux œufs de lézards à l’intérieur de ce nid, et on pouvait entendre des battements cardiaques de différentes forces. Cillin était caché au milieu de ces œufs de lézard, et leurs battements de cœur lui fournissaient le meilleur des masquages.

Quant aux lézards géants à l’extérieur de la grotte, les agents que Cillin avait tirés dans leur bouche s’étaient infiltrés dans toutes les parties de leur corps. Cependant, les effets de l’agent ne seraient pas trop évidents dans un délai aussi court. Tant que ces lézards géants ne ressentaient pas de fortes turbulences émotionnelles, les agents ne révéleraient pas leurs effets immédiatement.

Toujours en convalescence, Cillin ouvrit soudain les yeux et regarda dans une certaine direction à l’extérieur de la grotte.

Il ne fallut pas longtemps pour que les lézards géants à l’extérieur de la grotte regardent également dans cette direction. Leurs longues langues tremblèrent et leurs yeux glacés et froids regardèrent droit vers cet endroit. Leur instinct naturel les informait qu’un gars gênant se dirigeait vers eux.

La pluie de la forêt partit aussi vite qu’elle était venue. La lumière du soleil brillait à travers les nuages et dans la forêt.

Des germes verts vifs apparurent sur la prairie qui s’étendait de la forêt au nid. Une goutte d’eau tomba d’une feuille tendre et fit apparaître une ondulation sur une flaque d’eau.

Un insecte ressemblant à une araignée qui était encore plus petit qu’un grain de sésame descendit le long de la feuille, traînant un fil scintillant et translucide derrière son dos.

Bruissement… Bruissement…

Une silhouette apparut lentement dans l’ombre de la forêt. C’était Oskulos.

Il n’avait pas du tout caché ses traces ou ses pas. La peur qui imprégnait sa proie quand elle entendait ses pas lui plaisait.

Oskulos regarda les lézards devant lui. Ces créatures à l’apparence féroce n’étaient que de minuscules proies à ses yeux ; le genre de proie qu’il pouvait éliminer d’un simple coup de lame.

« Vous pensiez pouvoir m’échapper en vous cachant à l’intérieur de la grotte de ces petits reptiles ? » Oskulos rit doucement. Son rire n’était ni bruyant ni oppressant, mais il donnait l’impression à Cillin que le ciel avait subitement pris la couleur du sang.

Le lézard le plus éloigné rampa vers Oskulos, crachant sa longue langue et balançant sa grande queue de gauche à droite dans le processus. L’herbe tout autour fut écrasée en miettes.

Oskulos ne s’éloigna pas du chemin même si le lézard rampait vers lui. En fait, il regardait avec intérêt le mouvement de sa pitoyable proie.

Le lézard rampait de plus en plus vite, éparpillant de la boue tandis que ses griffes heurtaient le sol.

Un éclair blanc métallisé coupa le lézard en deux au moment même où il ouvrait sa grande bouche pleine de dents et tentait de mordre Oskulos. Le sang jaillit partout en se mélangeant aux flaques d’eau qui n’avaient pas encore séché sur le sol.

Cillin ferma de nouveau les yeux, se concentrant sur sa récupération le plus rapidement possible. Il ignora Oskulos, qui n’était pas loin de l’entrée de la grotte à ce moment-là.

La chasse venait juste de commencer.

Les lézards se mirent en colère en voyant leur compagnon se faire tuer, et le sang puant dans l’air réveilla encore plus leur cruauté innée. Ils hurlèrent d’une voix rauque et grimpèrent rapidement vers Oskulos.

Oskulos plissa les yeux cette fois, cependant.

Les lézards changeaient, rapidement et de façon globale, comme si quelqu’un gonflait leur corps avec de l’air. Ils grandissaient à chaque pas qu’ils faisaient, et comme leurs cellules étaient stimulées par les agents pour se diviser de plus en plus, les lézards grossissaient de plus en plus vite. Leur peau épaisse et rugueuse s’épaississait également à mesure que les épines derrière leur dos dépassaient comme de longues lances.

La terre tremblait de plus en plus fort à chaque pas qu’ils faisaient.

Lorsque les lézards se frayèrent un chemin vers Oskulos, ils avaient déjà gonflés près de dix fois leur taille d’origine.

Oskulos abattit cinq lézards en cinq coups pendant qu’il soulevait sa lame, mais cette fois ils ne furent pas coupés en deux comme le tout premier lézard. Les blessures qu’il avait infligées aux cinq lézards guérirent rapidement et cessèrent de saigner. De plus, ils avaient grossi encore plus pendant le peu de temps qu’il avait passé pour les abattre.

Oskulos jeta un coup d’œil à son environnement. Plus de 80 % des lézards commençaient à gonfler et ils devenaient tous impitoyables. Les lézards restants qui ne s’étaient pas transformés furent dévorés par les lézards géants.

Oskulos ne savait pas si les changements des lézards avaient quelque chose à voir avec Cillin, mais une chose était certaine : il avait choisi de se cacher ici parce qu’il savait que ces lézards géants subiraient une telle transformation.

L’agent que Cillin avait tiré dans la bouche des lézards était en fait la biomasse qu’il avait extraite de l’arbre géant de cette planète unique où il n’y avait que des plantes. Quelques ajustements pertinents plus tard, la biomasse avait été modifiée en cet agent qui agissait sur les lézards en ce moment. Ces agents avaient accordé aux lézards des coups de pouce physiques énormes, mais les privaient également de leur conscience de soi. La transformation contre nature les avait rendus impitoyables et assoiffés de sang, c’est pourquoi ils avaient attaqué leur espèce non transformée.

Les dizaines de lézards transformés chargèrent directement vers Oskulos. Naturellement, ce n’était pas une bataille facile, même pour ce dernier.

Cela ne voulait absolument pas dire qu’Oskulos ne pouvait pas couper ces lézards géants en deux, cependant.

À l’intérieur de la grotte, les yeux de Cillin étaient toujours fermés. Mais il y avait une arme à feu dans ses mains maintenant qui était chargée manuellement.

Bien que les mouvements de Cillin soient très silencieux, Oskulos pouvait les entendre clairement à l’extérieur de la grotte. Son intuition du danger était particulièrement active en ce moment. Cillin avait préparé cette arme à dessein pour faire face à Oskulos, et Oskulos lui-même pouvait sentir un grand danger provenant de l’arme. C’est pourquoi il était particulièrement attentif aux mouvements de Cillin.

Au moment où les lézards géants bondirent vers Oskulos, Cillin ouvrit brusquement les yeux, leva la main et tira chaque balle à l’intérieur du chargeur de l’arme à feu.

La grotte aux lézards n’avait pas la forme d’une ligne droite. Techniquement, il y avait une petite courbe qui empêchait Cillin de voir à l’extérieur d’où il était. Mais non seulement les balles de Cillin parcoururent une étrange trajectoire incurvée pour sortir de la grotte, mais elles se glissèrent parfaitement entre les lézards géants pour frapper la garde d’Oskulos.

Oskulos agita sa lame et bloqua toutes les balles qui lui tombaient dessus. Oskulos ne voulait pas utiliser un bouclier énergétique même s’il en possédait un ; il avait l’impression que c’était un aveu de faiblesse s’il devait l’utiliser. De plus, un bouclier énergétique le ralentirait, sans compter qu’il se faisait plus confiance qu’à un bouclier d’énergie.

Si Oskulos avait été quelqu’un d’autre – s’il avait été Cillin lui-même – il n’aurait pas eu le temps de combattre ces lézards bondissants et de bloquer les balles en même temps. Après tout, ces lézards géants pouvaient écraser un être humain avec un seul pied.

Mais Oskulos le pouvait.

Sa lame clignota pour bloquer les balles et couper en deux le plus grand lézard géant qui avait essayé sans succès à aplatir le minuscule Oskulos à peu près au même moment.

Le lézard avait maintenant une centaine de mètres de long, pas cinq mètres. Et pourtant Oskulos l’avait coupé en deux tout de même.

Cette taillade ne devait en aucun cas être sous-estimée. Elle contenait trop de facteurs à prendre en compte, tels qu’une concentration puissante, une fusion parfaite entre l’esprit et la lame, une technique de lame habile, consommée et sans hésitation, et bien d’autres. Bien que la lame n’ait pénétré que dans un tiers de son corps, la plaie s’ouvrit de l’autre côté d’elle-même comme si une énergie puissante déchirait littéralement ce gigantesque corps en deux.

La lame se déplaçait si rapidement qu’il était impossible de la voir. La seule chose qui restait était un lézard géant décapité.

Mais ce n’était qu’un début. Avant que le reste des lézards géants ne puisse réagir, Oskulos les décapita les uns après les autres. Peu importait combien de couches de peau durcies avaient été ajoutées, peu importe à quel point leurs muscles et leurs os étaient devenus plus durs, ils n’étaient que de pitoyables petites proies sous la lame d’Oskulos. C’était tout.

Le sang recouvrant le sol devenait de plus en plus épais. Il commença à se propager vers les environs.

Absorbé par l’excitation de la lame traversant la chair, Oskulos ne remarqua pas qu’une partie de l’herbe dans les environs commençait à pousser à un rythme effréné vers sa direction. De plus, de minces fils en apesanteur où une minuscule créature araignée de la taille d’un demi grain de sésame s’accrochait à une extrémité glissaient avec le vent.

Certaines de ces créatures ressemblant à des araignées atterrirent sur le sol, mais certaines d’entre elles atterrirent plutôt sur le corps d’Oskulos. Même celles qui avaient atterris sur le sol rampaient vers Oskulos.

Les dizaines de lézards géants transformés avaient été décapités avant même que le temps d’un souffle ne soit écoulé. Leurs corps géants faisaient des spasmes sur le sol alors que le sang jaillissait continuellement de leurs blessures.

Oskulos allait chercher Cillin après la décapitation des lézards quand ses pas s’arrêtèrent soudainement. Il regarda son environnement avec vigilance.

Whoosh ! Whoosh ! Whoosh !

Les lianes roulaient de toutes parts comme si elles avaient trouvées un animal des plus délicieux pour se nourrir.

Oskulos avait vu de nombreuses plantes étranges dans sa vie, et il savait que les plantes étaient souvent plus mortelles que les animaux. C’est pourquoi Oskulos les coupa toutes en morceaux.

Mais ces plantes poussaient beaucoup trop rapidement. Elles avaient l’air de pouvoir grandir à l’infini à moins qu’il n’arrache leurs racines.

Oskulos taillada les lianes et envoya à la fois de la terre et des lianes dans les airs. Cependant, il découvrit rapidement que ces lianes n’étaient pas comme celles qu’il avait vues mourir au moment où elles avaient quitté le sol. Ces lianes n’avaient pas cessé de croître même après avoir été jetées en l’air, et elles retrouvaient rapidement leurs racines au moment où elles retombaient au sol. De plus, une des lianes qui avait été coupée en plusieurs morceaux repoussa simplement en plusieurs lianes.

Cette liane qui avait atterri sur les lézards géants coupés en deux avait grandi particulièrement rapidement après avoir plongé ses racines dans le corps d’un d’entre-eux.

Oskulos abattit les lianes attaquantes pendant qu’il cherchait une occasion de massacrer le gamin qui se cachait à l’intérieur de la grotte.

C’est à ce moment qu’un tout petit bruit parvint de l’intérieur de la grotte. Oskulos pouvait sentir que Cillin se dirigeait vers l’entrée de la grotte.

Pfff. Est-ce que ce gamin essaie de monter une attaque sournoise ?!


Ce n’était pas qu’Oskulos ne méprisât que Cillin ; il méprisait quiconque n’était pas un Star Rank Hunter ou un Heavenly Edict General. Pour lui, ce petit salaud intrigant et rusé n’était qu’un jeune garçon qui n’avait connu ni le monde ni les situations de vie ou de mort.

Mais bien qu’il méprisât Cillin, Oskulos partageait toujours une partie de son attention sur lui pendant qu’il coupait les lianes en pleine croissance.

À la seconde où Cillin sortit de la grotte, Oskulos se retourna brusquement, accéléra et envoya un coup de taille directement sur Cillin. Il était rapide, mais Cillin était prêt pour l’attaque depuis longtemps. Il avait activé le bouclier énergétique sur son corps.

Cependant, le bouclier énergétique fut brisé presque aussi rapidement qu’il s’était mis en place.

Le fait que la lame d’Oskulos ait pu traverser le bouclier énergétique alimenté par un minerai d’énergie spécial et rester parfaitement intacte montrait à quel point ses matériaux étaient excellents.

Mais bien que le bouclier énergétique de Cillin ait été brisé, les mouvements d’Oskulos avaient finalement été un peu ralentis. Cillin profita de l’occasion pour tirer une autre série d’aiguilles en fibre sur Oskulos, et quand ce dernier déplaça sa lame pour bloquer les aiguilles, il saisit l’ouverture pour frapper une fois Oskulos. Le coup ne toucha pas un point vital d’Oskulos, et Cillin ne put pas trouver une deuxième occasion d’essayer à nouveau la même chose. Il n’eut donc pas d’autre choix que de passer au plan B.

Bien que Cillin ait réussi à frapper le bras d’Oskulos, sa propre taille avait été coupée par la lame d’Oskulos. Une nouvelle blessure avait été infligée à son corps avant qu’il ne puisse récupérer complètement.

La blessure à sa taille ne ralentit pas Cillin. Il s’enfuit rapidement de la zone.

Après avoir bloqué les aiguilles en fibre et coupé les lianes qui le rattrapaient par derrière, Oskulos exerça de la force dans ses jambes et poursuivit Cillin.

Mais juste au moment où sa lame était sur le point d’atteindre l’arrière du cœur de Cillin, une stupéfaction assaillit soudain ses sens.

Oskulos était un vétéran après tout. Il réalisa rapidement l’anomalie dans son corps et les minuscules choses qui avaient rampé dans sa chair.

Il n’avait jamais réalisé que ces petites choses qu’il pensait initialement être des araignées forestières étaient en fait des parasites jusqu’à présent. En fait, il s’agissait de parasites venimeux !

Oskulos cessa de courir après Cillin temporairement parce qu’il savait à quel point ces petites choses étaient mortelles. Il mobilisa ses muscles et même certains organes internes à l’intérieur de son corps.

Ses muscles se resserrèrent brusquement et serrèrent à mort tous les parasites à l’intérieur de son corps.

Cillin, qui ne s’était pas encore éloigné d’Oskulos, ne pouvait s’empêcher de se sentir étonné à cette vue. À ce jour, Oskulos était littéralement la seule personne qu’il voyait posséder de telles capacités. Oubliez le fait de serrer un parasite à mort dans son corps, personne d’autre qu’il avait rencontré ne pouvait même empêcher les parasites d’avancer.

Vous pouvez certainement écraser les parasites à l’intérieur de votre corps, mais pouvez-vous supporter les toxines qu’ils sécrètent, Oskulos 

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